Ma jeune lycéenne est très prévoyante. Dès le début de l'été elle m'a demandé
un nouveau sac pour la rentrée, croquis et dimensions à l'appui... S'en est 
suivie une virée au magasin de tissus local, afin qu'elle puisse choisir 
les coloris du simili, les motifs du tissu intérieur, et dénicher  
le galon à petits strass qui va bien... bien vite repéré !  

Petits détails demandés : une poche zippée pour le téléphone
et la carte de bus, une 2ème grande poche, pour mouchoirs et
autres petits effets, et de quoi accrocher les indispensables clés.

J'ai pour ma part proposé une fermeture aimantée et un fond renforcé : 

Il me restait juste assez de galon à strass pour confectionner 
une trousse assortie, ni trop grande, ni trop petite, parfaite pour les stylos. 

Et voilà une demoiselle ravie... mais qui rêve 
malgré tout déjà à d'autres sacs et pochettes, depuis 
qu'elle a découvert toute la collection de similis !!! 

Patron maison. Dimensions : 45 x 43 x 15 cm. 
Simili-cuir, tissu étoiles, galon strass : Le Quartier des Tissus. 
Galon cousu à la main. Fond renforcé d'un carton, équipé de clous tapissier
(Prym, de même pour l'aimant et le mousqueton). Bouton chiné. Boutonnière machine.
Petits pompons glands de fermeture faits maison.  

Folle - Ce qu'une femme croit qu'elle va devenir si elle ne retrouve pas son sac. 
Pierre Daninos

L'heure de la rentrée a sonné. Après un long silence estival,
les salles de classes sont investies de nouveaux groupes,
les cours d'école s'animent de rires, de cris, de jeux... 

Un jour marquant pour tous les écoliers, de la maternelle au supérieur,  
se répétant immanquablement chaque année, au fil des méthodes et réformes... 

Mes meilleurs souvenirs se trouvent dans l'école primaire de mon village d'enfance,
 du moins pour le CP et les 2 années de cours moyen (entrecoupées de deux années 
dans une école urbaine, donc plus grande et plus moderne). C'était une classe unique,
 avec un seul maître d'école. Dans la cour, un grand noyer abritait les jeux de balle
 au prisonnier et de marelles. Sous le préau, une porte vitrée à travers laquelle
nous observions le maître distribuer les cahiers du jour sur chaque pupitre,
avant de commencer la journée, près du tableau noir fraîchement lavé,
où il avait copié à la craie la lecture du jour, en lettres-bâton.  

Installés deux par deux sur des bancs accolés à nos pupitres, nous trempions 
 nos porte-plumes dans l'encrier en porcelaine, rempli par bec-verseur, nous
appliquant aux pleins et déliés, épongeant nos lignes sur nos buvards.
Nous prenions tout aussi bon soin des ardoises au cadre de bois,
qu'il ne fallait pas casser ! Au fond des casiers, se cachaient 
les récompenses, des boîtes à bons-points, des images...

Les après-midis commençaient toujours par une phrase de morale. Septembre avait un goût particulier avec les fruits apportés pour les leçons de choses, et la récolte de noix que nous vendions aux villageois, au profit de la coopérative de l'école. 

Sur les murs, une grande carte de France sur laquelle nous apprenions les noms des fleuves et de leurs affluents, l'altitude de chaque montagne. Il y avait aussi nos travaux de pyrogravure, technique à laquelle les plus grands étaient initiés
et très fiers lors de l'exposition de fin d'année, point d'orgue de l'année,
en même temps que la kermesse de l'amicale des anciens élèves.  

Et puis, au fond de la classe, ce grand poêle à charbon de bois, place
de choix pour se réchauffer en fin de récréation, ou pour prendre
 les goûters que chacun sortait d'un pochon à cordon, tout au
début de l'étude du soir, avant de se mettre en rang
une dernière fois pour descendre au portail. 

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Et parce que cette vitrine miniature ressemble tellement 
 à tous ces souvenirs - une des dernières écoles "à l'ancienne",
je n'ai pas résisté à la chiner. Merci à cette inconnue qui l'a réalisée. 

Et surtout, bonne rentrée à tous les écoliers... et tous les enseignants ! 

Les maîtres d'école sont des jardiniers en intelligences humaines. 
Victor Hugo

Un collier, c'est l'indispensable bijou de cou féminin de toujours.

Mais point besoin de perles pour être coquette, grâce au joli modèle 
 proposé par Muriel dans son livre Couture Jersey et Crochet. Il suffit d'un 
cordon en Liberty et de quelques mètres de fil, pour décliner autant de colliers
assortis à sa garde-robe, crochetés de brides aux allures de coquettes coquilles...  

Et voilà deux jeunes filles comblées par les justes coloris 
assortis à leur tenue, choisis dans le nuancier Natura DMC.  

Collier Coquillage de Couture Jersey Crochet, co-édité par Abracadacraft et Eyrolles. 
à retrouver aussi sur le blog de la collection "Qu'est-ce que tu fais de beau ?" 

Version 1 : cordon Liberty "June's meadow" choco, fils Topic Brown, Blue Jeans, Corail 
Version 2 : cordon Liberty "Eloise" coloris azur, fils Blue Paradise, Cannelle, Blue Jeans. 

Ce ne sont pas les perles qui font le collier : c'est le fil. 
Anonyme

Entre deux randonnées, j'ai crocheté une petite chouette,

tout droit sortie du joli livre Tendre Crochet. 

Ainsi Savoyarde, elle porte une fleur d'edelweiss... 
Elle m'a suivie là-haut sur la montagne,

 

posant le long des sentiers, de ci, de là, sur une pierre,

 

sur la mousse, sur un tronc d'arbre...

Elle est redescendue au châlet se mettre bien au chaud... 

Inspiration : Tendre crochet de Tournicote...à cloche-pied, en fil Natura DMC,
bouton Edelweiss (mercerie locale) co-édité par Abracadacraft et Eyrolles.
A retrouver sur le blog collectif Qu'est-ce-que tu fais de beau ?

Si haute soit la montagne, on y trouve un sentier.
Anonyme

Les brocantes ont ceci de magique : on ne sait ce que l'on va trouver. 
On peut tout trouver. On peut aussi REtrouver... lorsque l'oeil croise
un objet qui jadis faisait partie de son quotidien, on a presque
l'impression que c'est une partie de soi que l'on retrouve là. 
Et quelquefois, mieux que ça, on retrouve les siens. 

Ma grand-mère maternelle avait ce même service...
Je n'y ai malheureusement pas partagé de repas avec elle
mais je me souviens des tablées familiales fleuries par sa jolie
vaisselle, pour les repas quotidiens de mon enfance et adolescence. 

Cette pile d'assiettes-là m'est aussi apparue comme un objet familier :
j'ai pris tous mes repas dans ce service, une année durant, outre-Manche...
Que de souvenirs ressurgissent là, sur un bout de stand, à même le sol... 

Et ainsi le buffet se remplit ! non pas pour collectionner, thésauriser,
mais juste parce que ces objets-là nous parlent de nous !

L'enfance est ce que nous passons notre existence à essayer de retrouver. 
Forest Whitaker

Un gros colis dans ma BAL contenant deux gros cubes de savon de Marseille. 
Une mise en scène improvisée devant ce tableau complètement raccord.
(aïe les reflets sur la vitre ! comme sur des bulles de savon !)

Sur un battoir de lavandière, sans doute ont-ils le même âge...  

au milieu d'épingles en bois... 

Ces gros cubes ont rejoint celui qui officie comme fidèle détachant,
tout droit sorti de cette jolie savonnerie, tout strié par l'eau,
sur l'étagère en fer qui trône au-dessus du lave-linge.

Encore merci à Toi qui te reconnaîtras, quelle belle idée ! 

Battoir de lavandière chiné ici. Petit cube chiné ici.
Cadre-vitrine thème savon réalisé ici. 

Les reflets sur les bulles de savon sont le monde dans lequel nous vivons. 
Yukio Mishima

Besoin de se poser, de ci, de là, tel un papillon, 
à tout moment de la journée, depuis le déjeuner jusqu'au souper, 
pour des moments tout à la fois gourmands, exquis, délicieux, divins...
 
 

Elle a retenu mon faible pour les papillons, composé au point de croix
 sur le thème des repas, pour m'offrir cet adorable ensemble : un décor
   très nature et coloré, pour une table d'été tout en gaieté et légèreté,
      la promesse de bons moments autour de cette table de vacances.    

Les accessoires étaient présentés dans un pochon assorti
au chemin de table, tout aussi léger... Encore merci
à toi, tu me donnes des ailes !
PS : rassurez-vous on ne mange pas sans couverts pour autant, 
je les ai juste oubliés au moment de la photo !!!!!!!!

On ne peut le saisir : le bonheur a des ailes
Damoclès Vieux

Elle n'a jamais été aussi longtemps absente de cet espace !
Son quotidien s'est chargé d'une accumulation d'aléas à régler,
mais aussi de grands et beaux projets, dont elle parlera plus tard...

Pour l'instant, elle vient ici ouvrir les volets, comptant bien 
les laisser ouverts, et garder le fil, même en s'évadant
tout prochainement vers d'autres contrées...
avec son tote bag, qui ne la quitte pas...

A très bientôt !

La vie, c'est ce qui arrive alors que l'on a d'autres projets. 
John Lennon 

... et beaucoup de chocolat !

Pour une petite fille, et puis aussi une version en taille adulte
 pour ma grande fille, dont vous devinerez aisément le dessert favori.  

 Patron maison. Tissu chocolat et biais : Quartier des Tissus,
Tissu à pommes : Makeower, acheté à Windsor (GB). 
Tissu à poires : Un point c fou (clin d'oeil à S.)

Neuf personnes sur dix aiment le chocolat ; la dixième ment.
John G. Tullius (illustrateur de BD américain)

Le livre Couture Jersey & crochet de la collection Qu'est ce que tu fais de beau ?
est tombé entre les mains de ma fille. Et elle est tombée raide dingue   
du marcel aux pommes, n°1 sur sa wish-list... (et oui, pas que...)   

Dans cet ouvrage, Muriel, qui anime le joli blog Des étoiles et des pois, 
nous propose ses modèles en 2 versions, soit à coudre entièrement,
 soit à customiser à partir d'un tee-shirt du commerce. 

J'ai choisi la 2ème, par manque de temps, et n'ayant encore jamais
 cousu de jersey. Mais pour mon prochain ouvrage, je compte bien 
m'initier à cette technique, grâce aux explications illustrées !  

Revenons à ce marcel... Mais où est passée la pomme ??? 
... elle est tombée sur le bas du tee-sh... tout simplement !  

La demoiselle est ravie, et le porte aujourd'hui pour sa dernière
journée de cours, tenue "lycée-compatible"... avec un jean !!! 
(mais pour la séance photos, il faisait vraiment trop chaud...)

A retrouver sur le blog collectif avec toutes
les réalisations de la collection, ici :
 Qu'est-ce que tu fais de beau ? 

Inspiration : Couture Jersey & Crochet, Muriel François, co-édité par Eyrolles et Abracadacraft. 
Tee-shirt : Déc...... Tissu rouge "little dot" de mes tiroirs. 
Feuilles et tiges crochetées : Natura de DMC 

Des millions de gens ont vu tomber une pomme.
Newtown est le seul qui se soit demandé pourquoi. 
Bernard Baruch

Argentées, étoilées, pailletées...
A Noël dernier, chacune a fait le bonheur... de Chacun !

A présent, une idée de cadeau pour la fête des pères ?? 

Simili cuir et toile enduite + doublure lin enduit : Quartier des tissus. 
Patron : Three Bears. Dimensions : environ 20 x 15 x 8 cm 

Hier était l'histoire, demain sera un mystère, mais aujourd'hui est un cadeau,
c'est pour cela qu'on l'appelle "présent".
Jdan Noritiov

Il rappelle celui de Fontvieille, en Provence, celui qui inspira les lettres de Daudet. 
Il m'évoque aussi celui qui se trouve au bout de ma rue, dernièrement rénové. 

Et puis parce que c'est un canevas, il m'a fait penser au sac improvisé
par la maman des 4, tout comme la nouvelle nouvelle mode des sacs en tapisserie
recyclée, que l'on voit fleurir sur les blogs et sur la toile, là, là et encore là...

Maintenant qu'il est dans mon atelier, y'a plus qu'à ! ... ceci, disons
dans un certain temps, ne pouvant être... au four (ou aux aiguilles !) et au moulin !!

Mais je n'aurai pas d'excuse à trop tarder, ayant trouvé les poignées de sac
qui vont bien, d'une époque tout aussi vintage, vu le tissu (que je ne garderai pas...)

et vu son contenu...  des pelotes Bergère de France,
d'une autre époque, celle de quand j'étais petite... 

  Et puis, de la même époque aussi... de vieux livres de poche,
sur les travaux d'aiguilles, bref, tout ce que j'aime ! 

Guide de coupe et couture, Guide du crochet, Guide du tricot,  
Marcelle de Coulon, M.F. de la Villehuchet, édités dans les années 70

 On ne peut pas être au four et au moulin
(oui c'est vrai, super fastoche à trouver !)
Proverbe français.

Dimanche dernier, soirée crochet... pour me changer les idées... 
mais surtout pour préparer un petit cadeau utile et agréable, tout en fil. 

A l'origine, un modèle de grande rosace, probablement pour une nappe, paru
dans une revue américaine nommée Fancy Work Manual. Il date de 1893. 

Plus récemment, Sandy Marshall eût la bonne idée de retranscrire 
les explications de la partie centrale, en guise de sous-verre. 

Voici la traduction des explications :
(maille en l'air : ml, maille coulée : mc, maille serrée : ms, bride : br)

1er rang :
sur une chaînette de 6 ml, faîtes 3ml et 19br. Fermez par 1mc.

2ème rang :
Faîtes 3 ml, 1mc dans la bride suivante, *2ml, 1br. dans chaque br. suivante*.
Répétez de * à * sur tout le rang. Terminez par 2ml et 1mc dans la 3ème ml de départ. 

3ème rang :
Faîtes 3ml, 1mc dans la br. suivante, 1mc dans le 1er arceau de 2ml,
3ml, 1br, 2ml, 2br, *2br ,2ml, 2br dans l'arceau de 2ml suivant*, répétez de * à *
sur tout le rang. Terminez par 1mc dans la 3ème ml de départ. 

4ème rang :
Faîtes 1mc dans la 1ère br., 6br, *1ms entre les 2 couples de brides suivantes,
7br dans l'arceau de 2ml suivant*, répétez de * à  * sur tout le rang. Terminez
par 1ms entre le dernier couple de brides. Faîtes 1mc puis coupez le fil.  

NB : j'ai modifié la chaînette de base par un cercle magique, ainsi que la place des ms sur le dernier rang (Sandy les a placées juste après la 7ème bride, dans l'arceau). 

Matériel utilisé : Fil Natura DMC, coloris Corail.
Crochet ergonomique Clover n°3. Dimension obtenue : 7,5 cm.

Un petit air vintage pour des sous-verres (ou sous-tasses, ou sous-mugs...) 
en fil plein de pep's et de gaieté ! Le cadeau fût remis dès lundi à sa destinatrice,
accompagné de 6 cuillères à café, tout aussi home-made, aux tons assortis... 

Ce ne sont pas les perles qui font le collier. C'est le fil.
Auteur inconnu 

... à toutes les mamans 

Crédit photo : Magical Vintage 

La fête des mères est un prétexte, car on fête toute l'année sa maman. 
Jean Gastaldi 

Qu'est-ce que tu fais de beau ?... c'est le titre d'une collection de livres, 
co-édités par Abracadacraft et Eyrolles... Il y est question de couture, tricot 
et crochet pour les amoureuses du fil, et de pâte fimo pour les bricoleuses. 
Les livres portent les jolis noms des blogs animés par leurs auteures.

Ils sont sur mon chevet... une to-do-list se remplit...
A suivre... 

Qu'est-ce que tu fais de beau ? 
C'est aussi le nom d'un blog tout nouveau, tout beau, un blog collectif
qui rassemble les lectrices de la collection. Chacune, blogueuse ou pas,
pourra désormais y poster ses réalisations inspirées par ces livres. 

Pas plus de mots, ni de photos...
Pour tout voir et tout savoir,
c'est par ICI 

Ce qui est beau, c'est ce qu'on aime. 
Jean Anouilh

 Crédit photo : Magical Vintage

Un bouquet de muguet, 
un gâteau et 18 bougies à souffler...  

Très belle journée !

Par un beau matin du mois de mai, on vit danser Monsieur Muguet,
au bras d'une pervenche bleue, comme le font les gens heureux.
"La Saint-Bonheur" - Henri Contet

Ces derniers mois les unes et les autres
m'ont remis des présents de faïence... 

 Que chacune soit ici remerciée ! 

 Ne regardons point la valeur du présent, mais le coeur qui le présente.
Marguerite de Navarre

C'était la première fois que je chinais, il y a de nombreuses années de cela.
 La broderie blanche si délicate de ce porte-serviette m'avait émerveillée. 

J'y ai toujours rangé mes échevettes DMC, avant qu'elles ne soient 
entamées, puis rangées sur cartonnettes dans mon casier... DMC. 

... Porte-échevettes si bien rangé dans son tiroir,
que je ne l'avais jamais présenté ici !!! C'est chose faite à présent !  

 Au fond, est-ce que ranger ça ne revient pas un peu
à mettre le b... dans son désordre ?
Philippe Geluck

Crédit photo : Magical Vintage

Pâques tôt, ou Pâques tard, ne viennent jamais sans feuilles,
tout comme un bon merle a ses petits à Pâques. 
Dicton populaire.

L'été dernier, j'ai eu l'occasion de chiner sur la toile et ainsi 
me voir remettre en mains propres, tout près de
chez moi, trois magnifiques plats Digoin...  

Adige, Alain, Roseraie... que de jolies fleurettes...
J'ai également chiné une collection d'assiettes, et un ravier, qu'il a fallu envoyer.
Des assiettes Malmaison malheureusement malmenées par la poste, car
3 seulement sont arrivées intactes, et les 8 autres, en morceaux...

 
J'ai conservé les brisures... peut-être un essai de mosaïque dans l'avenir ?

C'est vraiment dommage pour cette belle vaisselle de finir ainsi concassée
dans un carton à la poste... Et je ne peux pas en vouloir à celle qui les a 
 bien emballées ! Il aurait mieux valu qu'elle les cède en mains propres à 
quelqu'un de plus près, peu importe pourvu que ces assiettes restent 
bien entières et dans de bonnes mains : c'eût été l'essentiel.

Et puis, ne dit-on pas : "1 de perdue, 10 de retrouvées" ?

... C'est à peu près ce qui arriva : en effet quelques temps plus tard, 
je tombais sur ce bien joli service Ninette, et là, pas de risque
 de casse, car c'était à nouveau tout près de chez moi !  

 Rien n'est jamais perdu tant qu'il reste quelque chose à trouver.
Pierre Dac